Restauration vulvaire et bien-être intime : interview du Dr Levêque

restauration vulvaire

Trop souvent associée à l’esthétique, la restauration vulvaire est en réalité une démarche médicale qui concerne des pathologies fréquentes : sécheresse intime, douleurs vulvaires, cicatrices post-partum, lichen scléreux, incontinence urinaire.

Ces troubles, liés à l’atrophie, la fibrose ou l’inflammation chronique, peuvent profondément affecter la sexualité, l’estime de soi et la vie sociale des femmes.

Chirurgienne gynécologue spécialisée en chirurgie pelvienne et en prise en charge de la douleur, Christine Levêque a développé une approche scientifique et intégrative de la restauration vulvaire.

Elle s’appuie sur la maîtrise de toutes les technologies disponibles (laser, radiofréquence, HIFU, LED, PRP, greffe graisseuse) et sur des protocoles cliniques adaptés à chaque pathologie.



Son engagement :
Replacer la restauration vulvaire dans une logique de médecine régénérative rigoureuse, encadrée sur le plan scientifique et éthique, afin d’offrir aux patientes des solutions efficaces et sécurisées, centrées sur leur qualité de vie.

1. Qu’est-ce que la restauration vulvaire ?

La restauration vulvaire est un champ en plein essor de la médecine régénérative.
Trop souvent réduite à une dimension “esthétique”, elle concerne en réalité des pathologies et symptômes intimes aux conséquences majeures : sécheresse, douleurs vulvaires, cicatrices post-partum ou post-chirurgicales, lichen scléreux, incontinence urinaire.

2. Quelle est votre expertise dans la restauration vulvaire ?

  • Chirurgienne gynécologue spécialisée en chirurgie pelvienne et en douleur chronique.
  • Expérience transversale de toutes les technologies (laser, RF, HIFU, LED, PRP, greffes graisseuses, électroporation).

  • Interventions dans de nombreux congrès et diplômes universitaires (SCGP, CA de chirurgie pelvienne, DU de reconstruction, LEN médical, Gynécologie pratique, DU de photobiomodulation).
  • Développement de protocoles cliniques et algorithmes décisionnels.

3. Quelle est votre approche ?

  • Compréhension de la physiopathologie.
  • Choix raisonné des technologies selon le symptôme et la pathologie.
  • Encadrement médico-légal et éthique.
  • Évaluation systématique de la qualité de vie des patientes.

4. Votre engagement

Je milite pour que la restauration vulvaire soit reconnue comme une discipline médicale à part entière, structurée autour d’un cadrage scientifique rigoureux et d’une éthique centrée sur la santé et la dignité des femmes.

« La restauration vulvaire n’est pas un luxe intime :
c’est un enjeu de santé, de bien-être et de dignité pour les femmes. »